Publique n°1947

Pétitionnaire: Anne-Marie Yim

Autorisation des traitements alternatifs à la COVID

But de la pétition

Dans le cadre de la crise sanitaire de la COVID, et de la pandémie qui s'en est suivie en 2019, il est demandé au gouvernement d'autoriser les traitements alternatifs à la COVID et d'ouvrir le débat scientifique sur les risques secondaires liés aux injections géniques/génétiques à ARNm ou à ADN au grand public. Le manque de recul sur les effets secondaires menés dans les tests cliniques expérimentaux à l'échelle mondiale, à court, moyen et long terme, ainsi que les technologies nouvelles utilisées remettent en question le principe de précaution ainsi que l'équilibre bénéfices/risques des vaccins. En effet, les effets secondaires des vaccins toujours plus nombreux : coagulation, paralysie de Bell, syndrome de Guillain-Barré, myocardites, péricardites..., inquiètent à juste titre tout un chacun, quel que soit son âge ou sa catégorie socio-professionnelle. Dans un souci d'intérêt général, il semble vital afin de lutter efficacement contre cette nouvelle maladie de s'impliquer dans la politique sanitaire.

Motivation de la pétition

L’hydroxychloroquine est un médicament listé et autorisé par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) car elle a été reconnue particulièrement efficace pour traiter le paludisme/malaria ou encore des maladies auto-immunes tel le lupus ou la polyarthrite rhumatoïde. Jusqu’à présent l’hydroxychloroquine peut être prescrite au Luxembourg et en Europe hors AMM (Autorisation Médicale de Mise sur le Marché) pour un traitement prophylactique de la COVID, alors que sa marge thérapeutique est dite « étroite », c’est-à-dire la dose efficace et toxique sont relativement proches. C’est pourquoi, Il est important face à l’état actuel des connaissances scientifiques ainsi que des études et des essais cliniques menés dans l’urgence de la crise sanitaire d’offrir des alternatives de traitements à la COVID. Ce d’autant plus que très récemment l’ivermectine a été reconnue comme agent thérapeutique dans le traitement de la COVID, car elle est capable de limiter l’inflammation des voies respiratoires ainsi que des symptômes résultants, sans diminuer la charge virale, démontrant ainsi que la recherche d’approches préventives et thérapeutiques doit rester une priorité.

Cette pétition publique n’a pas atteint le seuil de 4.500 signatures. A la demande du pétitionnaire, elle a été transformée en pétition ordinaire. Voir pétition ordinaire.
expiré  28.10.2021
4491 /4.500
99%
signatures enregistrées

Les étapes de cette pétition

Icon process
30.03.2022

Reclassement de la pétition publique, n'ayant pas atteint le seuil de 4500 signatures, en pétition ordinaire n°1947, le 30-03-2022

03.03.2022

Demande concernant la poursuite de l'instruction de la pétition reclassée en pétition ordinaire

02.03.2022

Le seuil des 4500 signatures n'est pas atteint pour la pétition publique n°1947, le 02-03-2022 - Nombre de signatures après validation: 4491

02.03.2022

Signatures électroniques validées: 4491

29.10.2021

La période de signature de la pétition publique n°1947 est clôturée, le 29-10-2021 - Nombre de signatures électroniques avant validation: 4491

17.09.2021

La pétition publique n°1947 est ouverte à signature, le 17-09-2021

17.09.2021

Déclaration de recevabilité

16.09.2021

La pétition publique n°1947 est déclarée recevable par la Conférence des Présidents, le 16-09-2021

Recevabilité: recevable

Date de début de la période de signature: 17-09-2021 à 0h00

Date de fin de la période de signature: 28-10-2021 à 23h59

15.09.2021

La Commission des Pétitions a donné un avis favorable au sujet de la pétition publique n°1947, le 15-09-2021

Avis de la Commission des Pétitions: favorable

16.07.2021

La pétition publique n°1947 est déposée, le 16-07-2021

Intitulé de la pétition: Autorisation des traitements alternatifs à la COVID

But de la pétition: Dans le cadre de la crise sanitaire de la COVID, et de la pandémie qui s'en est suivie en 2019, il est demandé au gouvernement d'autoriser les traitements alternatifs à la COVID et d'ouvrir le débat scientifique sur les risques secondaires liés aux injections géniques/génétiques à ARNm ou à ADN au grand public.

 

Le manque de recul sur les effets secondaires menés dans les tests cliniques expérimentaux à l'échelle mondiale, à court, moyen et long terme, ainsi que les technologies nouvelles utilisées remettent en question le principe de précaution ainsi que l'équilibre bénéfices/risques des vaccins.

 

En effet, les effets secondaires des vaccins toujours plus nombreux : coagulation, paralysie de Bell, syndrome de Guillain-Barré, myocardites, péricardites..., inquiètent à juste titre tout un chacun, quel que soit son âge ou sa catégorie socio-professionnelle.

 

Dans un souci d'intérêt général, il semble vital afin de lutter efficacement contre cette nouvelle maladie de s'impliquer dans la politique sanitaire.

Motivation de l'intérêt général de la pétition: L’hydroxychloroquine est un médicament listé et autorisé par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) car elle a été reconnue particulièrement efficace pour traiter le paludisme/malaria ou encore des maladies auto-immunes tel le lupus ou la polyarthrite rhumatoïde.

 

Jusqu’à présent l’hydroxychloroquine peut être prescrite au Luxembourg et en Europe hors AMM (Autorisation Médicale de Mise sur le Marché) pour un traitement prophylactique de la COVID, alors que sa marge thérapeutique est dite « étroite », c’est-à-dire la dose efficace et toxique sont relativement proches.

 

C’est pourquoi, Il est important face à l’état actuel des connaissances scientifiques ainsi que des études et des essais cliniques menés dans l’urgence de la crise sanitaire d’offrir des alternatives de traitements à la COVID.

 

Ce d’autant plus que très récemment l’ivermectine a été reconnue comme agent thérapeutique dans le traitement de la COVID, car elle est capable de limiter l’inflammation des voies respiratoires ainsi que des symptômes résultants, sans diminuer la charge virale, démontrant ainsi que la recherche d’approches préventives et thérapeutiques doit rester une priorité.