15.09.2021
Publique n°1862
Pétitionnaire: Jeannot Mersch
Limiter la vitesse à 30km/h dans les rues partagées entre véhicules motorisés et autres usagers, plus vulnérables.
But de la pétition
Moins de victimes tuées et blessées graves et une meilleure qualité de vie dans nos villes et villages pour tous les usagers. Vivre et circuler ensemble, en santé et en sécurité.
Motivation de la pétition
Réduire la vitesse dans les agglomérations et zones résidentielles à 30km/h est une stratégie clé pour éviter la mortalité et les blessures graves des usagers vulnérables et promouvoir la mobilité active. 30km/h comme limite générale dans nos agglomérations est un aveu clair pour plus de sécurité et de qualité de vie dans nos villes et villages. Avec une réduction de vitesse, la protection de la vie et l’égalité des chances dans la mobilité des usagers de la route seront à la base des politiques de transport. La limitation pourrait rester 50 km/h et même 70 km/h sur certaines routes, là où des limites à 30 km/h ne sont pas logiques, comme par exemple sur les routes étatiques de transit et de liaison. Pourtant, les rues près des écoles et d’autres établissements publics seraient toujours limités à 30 km/h. Si un piéton ou un cycliste est heurté par un véhicule 50km/h ?), le risque de mourir s’élève à 80% et la gravité des blessures est très élevée. Si la vitesse d’impact est cependant 30km/h, le risque de mourir est pratiquement réduit à zéro, ainsi que le risque d’être gravement blessé La mobilité active, à pied ou à vélo par exemple, est aussi favorable à la santé, au bien-être et à la qualité de vie dans nos agglomérations. Les réductions de vitesses améliorent aussi l’accessibilité pour les personnes âgées et pour les usagers de la route ayant une mobilité réduite. Avec des voitures qui circulent plus lentement, les gens peuvent mieux évaluer ce qui se passe autour d’eux La réduction de vitesse entraîne une spirale positive d’activités garantissant aussi un chemin vers l’école plus sécurisé, qui favorise la santé mentale et physique des enfants, ainsi qu’une meilleure intégration sociale. Des avantages pour tous et chacun, et spécialement les enfants, personnes âgées et nos citoyens à mobilité réduite.
Cette pétition publique n’a pas atteint le seuil de 4.500 signatures. A la demande du pétitionnaire, elle a été transformée en pétition ordinaire.
Voir pétition ordinaire.
Les étapes de cette pétition
08.07.2021
Demande concernant la poursuite de l'instruction de la pétition reclassée en pétition ordinaire
07.07.2021
Le seuil des 4500 signatures n'est pas atteint pour la pétition publique n°1862, le 07-07-2021 - Nombre de signatures après validation: 419
07.07.2021
Signatures électroniques validées: 419
04.06.2021
La période de signature de la pétition publique n°1862 est clôturée, le 04-06-2021 - Nombre de signatures électroniques avant validation: 419
23.04.2021
La pétition publique n°1862 est ouverte à signature, le 23-04-2021
23.04.2021
Déclaration de recevabilité
22.04.2021
La pétition publique n°1862 est déclarée recevable par la Conférence des Présidents, le 22-04-2021
Recevabilité: recevable
Date de début de la période de signature: 23-04-2021 à 0h00
Date de fin de la période de signature: 03-06-2021 à 23h59
21.04.2021
La Commission des Pétitions a donné un avis favorable au sujet de la pétition publique n°1862, le 21-04-2021
Avis de la Commission des Pétitions: favorable
20.04.2021
La pétition publique n°1862 est déposée, le 20-04-2021
Intitulé de la pétition: Limiter la vitesse à 30km/h dans les rues partagées entre véhicules motorisés et autres usagers, plus vulnérables.
But de la pétition: Moins de victimes tuées et blessées graves et une meilleure qualité de vie dans nos villes et villages pour tous les usagers. Vivre et circuler ensemble, en santé et en sécurité.
Motivation de l'intérêt général de la pétition: Réduire la vitesse dans les agglomérations et zones résidentielles à 30km/h est une stratégie clé pour éviter la mortalité et les blessures graves des usagers vulnérables et promouvoir la mobilité active.
30km/h comme limite générale dans nos agglomérations est un aveu clair pour plus de sécurité et de qualité de vie dans nos villes et villages. Avec une réduction de vitesse, la protection de la vie et l’égalité des chances dans la mobilité des usagers de la route seront à la base des politiques de transport.
La limitation pourrait rester 50 km/h et même 70 km/h sur certaines routes, là où des limites à 30 km/h ne sont pas logiques, comme par exemple sur les routes étatiques de transit et de liaison. Pourtant, les rues près des écoles et d’autres établissements publics seraient toujours limités à 30 km/h.
Si un piéton ou un cycliste est heurté par un véhicule 50km/h ?), le risque de mourir s’élève à 80% et la gravité des blessures est très élevée. Si la vitesse d’impact est cependant 30km/h, le risque de mourir est pratiquement réduit à zéro, ainsi que le risque d’être gravement blessé
La mobilité active, à pied ou à vélo par exemple, est aussi favorable à la santé, au bien-être et à la qualité de vie dans nos agglomérations.
Les réductions de vitesses améliorent aussi l’accessibilité pour les personnes âgées et pour les usagers de la route ayant une mobilité réduite. Avec des voitures qui circulent plus lentement, les gens peuvent mieux évaluer ce qui se passe autour d’eux
La réduction de vitesse entraîne une spirale positive d’activités garantissant aussi un chemin vers l’école plus sécurisé, qui favorise la santé mentale et physique des enfants, ainsi qu’une meilleure intégration sociale.
Des avantages pour tous et chacun, et spécialement les enfants, personnes âgées et nos citoyens à mobilité réduite.
