Publique n°1751

Pétitionnaire: Françoise Seyler

Fir e strikt Verbuet vu Sedéierung (Rouegstellung, fréiert Ugurten) a méi e mënschleche Gesondheetssystem fir vulnerabel Persounen an den Institutiounen zu Lëtzebuerg - Pour une interdiction stricte de sédation (immobilisation, autrefois fixation) et un système de santé plus humain pour les personnes vulnérables dans les institutions au Luxembourg - Für ein striktes Verbot von Sedierung (Ruhigstellung, früheres Angurten) und ein menschlicheres Gesundheitssystem für schutzbedürftige Personen in den Institutionen in Luxemburg

But de la pétition

Dass d’Mënschlechkeet net duerch reng gewënnbréngend Orientéierung verluer geet, mä dass de Mënsch un éischter Plaz steet. Non pas que la rentabilité financière, mais que la santé et le bien-être des résidents soient au premier plan. Dass nicht die gewinnbringende Orientierung, sondern die Gesundheit und das Wohlergehen der Bewohner im Vordergrund stehen.

Motivation de la pétition

Que tous ceux, qui vivent dans une institution soient traités suivant les droits de l’homme, avec humanité et respect. Depuis 2010, il existe un cahier thématique intitulé « Freiheitsentziehende Maßnahmen und Gewalt in der Altenpflege. » dans lequel l’attention a été attirée sur les conditions inhumaines dans les maisons de retraite et les hôpitaux. La même année, l'article « Ruhiggestellt » a été publié par la journaliste Anina Valle Thiele. Apparemment, cette situation n'a toujours pas changé. Dans plusieurs institutions il arrive que les personnes soient « immobilisées » par des neuroleptiques afin de faciliter les tâches infirmières au personnel soignant. Les neuroleptiques sont prescrits par les médecins et administrés comme sédatif aux personnes sans résistance. Il faut mentionner qu'il s'agisse d'un « immobilisateur » avec un effet à long terme, qui conduit souvent à un arrêt cardiaque. Bien qu'il y ait plus de personnel dans les maisons de retraite au Luxembourg et qu'ils soient mieux payés que dans d'autres pays, il ne semble pas possible de s'occuper de certains résidents selon les directives de soins existantes. Malheureusement, cela ne semble pas être connu dans la conscience de la société et être accepté par ignorance. En fin de compte, les droits humains fondamentaux des résidents ne sont pas respectés et les médicaments contenant des neuroleptiques sont généralement utilisés pour des raisons non médicales, cela doit être évalué comme un préjudice physique et une privation de liberté. Dass jeder Mensch, der in einer Institution lebt, menschlich und respektvoll, im Sinne der Menschenrechte behandelt wird. 2010 wurde schon im Themenheft „Freiheitsentziehende Maßnahmen und Gewalt in der Altenpflege“ auf die öfters unmenschlichen Zustände in den Pflegeheimen und Krankenhäusern aufmerksam gemacht. Im selben Jahr wurde der Artikel „Ruhiggestellt“ von der Journalistin Anina Valle Thiele veröffentlicht. Anscheinend hat sich diese Situation noch immer nicht geändert. In mehreren Institutionen kommt es vor, dass Menschen mit Neuroleptika „ruhiggestellt“ werden, um dem Pflegepersonal die Bewältigung der pflegerischen Aufgaben zu erleichtern. Die Neuroleptika werden ärztlich verordnet, und den hilflos ausgelieferten Menschen als Beruhigungsmittel verabreicht. Es ist zu erwähnen, dass es sich bei der neuroleptischen Medikation um Wirkstoffe handelt, die eine Langzeitwirkung ausweisen und gehäuft zum Herzstillstand führen. Obwohl in Luxemburg mehr Personal in den Pflegeheimen angestellt ist und besser bezahlt wird als in anderen Ländern, scheint es nicht zu gelingen, manche Bewohner nach den bestehenden Pflegerichtlinien zu versorgen. Leider scheint dies nicht im Bewusstsein der Gesellschaft bekannt zu sein und aus Unwissenheit akzeptiert zu werden. Letztendlich wird in die fundamentalen Menschenrechte der Bewohner eingegriffen und meist aus nicht medizinischen Gründen die Medikation mit Neuroleptika angewandt, dies ist als Körperverletzung und Freiheitsberaubung zu werten.

Cette pétition publique n’a pas atteint le seuil de 4.500 signatures. A la demande du pétitionnaire, elle a été transformée en pétition ordinaire. Voir pétition ordinaire.
expiré  25.02.2021
1088 /4.500
24%
signatures enregistrées

Les étapes de cette pétition

Icon process
31.03.2021

Reclassement de la pétition publique, n'ayant pas atteint le seuil de 4500 signatures, en pétition ordinaire n°1751, le 31-03-2021

18.03.2021

Demande concernant la poursuite de l'instruction de la pétition reclassée en pétition ordinaire

17.03.2021

Le seuil des 4500 signatures n'est pas atteint pour la pétition publique n°1751, le 17-03-2021 - Nombre de signatures après validation: 1088

17.03.2021

Signatures papier validées: 824

17.03.2021

Signatures électroniques validées: 264

26.02.2021

La période de signature de la pétition publique n°1751 est clôturée, le 26-02-2021 - Nombre de signatures électroniques avant validation: 264

15.01.2021

La pétition publique n°1751 est ouverte à signature, le 15-01-2021

15.01.2021

Démarrage de la période de signature

14.01.2021

Déclaration de recevabilité

14.01.2021

La pétition publique n°1751 est déclarée recevable par la Conférence des Présidents, le 14-01-2021

Recevabilité: recevable

Date de début de la période de signature: 15-01-2021 à 0h00

Date de fin de la période de signature: 25-02-2021 à 23h59

13.01.2021

La Commission des Pétitions a donné un avis favorable au sujet de la pétition publique n°1751, le 13-01-2021

Avis de la Commission des Pétitions: favorable

08.01.2021

La pétition publique n°1751 est déposée, le 08-01-2021

Intitulé de la pétition: Fir e strikt Verbuet vu Sedéierung (Rouegstellung, fréiert Ugurten) a méi e mënschleche Gesondheetssystem fir vulnerabel Persounen an den Institutiounen zu Lëtzebuerg -

Pour une interdiction stricte de sédation (immobilisation, autrefois fixation) et un système de santé plus humain pour les personnes vulnérables dans les institutions au Luxembourg -

Für ein striktes Verbot von Sedierung (Ruhigstellung, früheres Angurten) und ein menschlicheres Gesundheitssystem für schutzbedürftige Personen in den Institutionen in Luxemburg

 

 

But de la pétition: Dass d’Mënschlechkeet net duerch reng gewënnbréngend Orientéierung verluer geet, mä dass de Mënsch un éischter Plaz steet.

 

Non pas que la rentabilité financière, mais que la santé et le bien-être des résidents soient au premier plan.

 

Dass nicht die gewinnbringende Orientierung, sondern die Gesundheit und das Wohlergehen der Bewohner im Vordergrund stehen.

 

 

Motivation de l'intérêt général de la pétition: Que tous ceux, qui vivent dans une institution soient traités suivant les droits de l’homme, avec humanité et respect. Depuis 2010, il existe un cahier thématique intitulé « Freiheitsentziehende Maßnahmen und Gewalt in der Altenpflege. » dans lequel l’attention a été attirée sur les conditions inhumaines dans les maisons de retraite et les hôpitaux. La même année, l'article « Ruhiggestellt » a été publié par la journaliste Anina Valle Thiele. Apparemment, cette situation n'a toujours pas changé. Dans plusieurs institutions il arrive que les personnes soient « immobilisées » par des neuroleptiques afin de faciliter les tâches infirmières au personnel soignant. Les neuroleptiques sont prescrits par les médecins et administrés comme sédatif aux personnes sans résistance. Il faut mentionner qu'il s'agisse d'un « immobilisateur » avec un effet à long terme, qui conduit souvent à un arrêt cardiaque. Bien qu'il y ait plus de personnel dans les maisons de retraite au Luxembourg et qu'ils soient mieux payés que dans d'autres pays, il ne semble pas possible de s'occuper de certains résidents selon les directives de soins existantes. Malheureusement, cela ne semble pas être connu dans la conscience de la société et être accepté par ignorance. En fin de compte, les droits humains fondamentaux des résidents ne sont pas respectés et les médicaments contenant des neuroleptiques sont généralement utilisés pour des raisons non médicales, cela doit être évalué comme un préjudice physique et une privation de liberté.

 

Dass jeder Mensch, der in einer Institution lebt, menschlich und respektvoll, im Sinne der Menschenrechte behandelt wird. 2010 wurde schon im Themenheft „Freiheitsentziehende Maßnahmen und Gewalt in der Altenpflege“ auf die öfters unmenschlichen Zustände in den Pflegeheimen und Krankenhäusern aufmerksam gemacht. Im selben Jahr wurde der Artikel „Ruhiggestellt“ von der Journalistin Anina Valle Thiele veröffentlicht. Anscheinend hat sich diese Situation noch immer nicht geändert. In mehreren Institutionen kommt es vor, dass Menschen mit Neuroleptika „ruhiggestellt“ werden, um dem Pflegepersonal die Bewältigung der pflegerischen Aufgaben zu erleichtern. Die Neuroleptika werden ärztlich verordnet, und den hilflos ausgelieferten Menschen als Beruhigungsmittel verabreicht. Es ist zu erwähnen, dass es sich bei der neuroleptischen Medikation um Wirkstoffe handelt, die eine Langzeitwirkung ausweisen und gehäuft zum Herzstillstand führen. Obwohl in Luxemburg mehr Personal in den Pflegeheimen angestellt ist und besser bezahlt wird als in anderen Ländern, scheint es nicht zu gelingen, manche Bewohner nach den bestehenden Pflegerichtlinien zu versorgen. Leider scheint dies nicht im Bewusstsein der Gesellschaft bekannt zu sein und aus Unwissenheit akzeptiert zu werden.

Letztendlich wird in die fundamentalen Menschenrechte der Bewohner eingegriffen und meist aus nicht medizinischen Gründen die Medikation mit Neuroleptika angewandt, dies ist als Körperverletzung und Freiheitsberaubung zu werten.